Wealth Professional Canada (WP) est un magazine qui offre aux professionnels de la finance canadiens des nouvelles sur des sujets qui concernent leur secteur d’activité. Dans le numéro 7.01, un reportage spécial a été publié sur les 50 meilleurs conseillers (Top 50 Advisors) pour 2019, et nous sommes fiers d’annoncer que Nader Hamid s’est retrouvé en deuxième place sur cette liste. Dans la foulée de ce résultat impressionnant, James Burton, de WP, a rédigé l’article suivant* qui a récemment paru dans le bulletin The Frontline de WP. Nous devions absolument vous en faire part.
Pour Nader Hamid, maximiser le recours à la technologie est au cœur de son objectif de faire évoluer et d’améliorer continuellement sa pratique axée sur le client.
En 2018, le conseiller montréalais a connu une année exceptionnelle avec une hausse de 77 % de sa valeur comptable, qui a atteint 265 M$, grâce à des acquisitions et une croissance interne. Il a expliqué à WP ce qui a motivé son approche holistique et pourquoi le fait d’avoir une équipe talentueuse ainsi que des systèmes et des processus polyvalents est essentiel pour l’avenir de son entreprise.
Gestionnaire de portefeuilles chez Groupe de gestion financière globale, il souligne que sa stratégie est simple et consiste à améliorer continuellement tous les processus, que ce soit la gestion de portefeuille, l’équipe, les relations avec les clients et les points de contact. Chaque jour, c’est un défi qu’il relève avec brio.
Il dit : « Un des facteurs de notre succès est le recours à la technologie et son utilisation pour simplifier et adapter nos processus. Nous disposons actuellement d’une version très personnalisée d’un système de gestion de la relation client que nous avons modifié afin de mieux servir nos clients.
« Nous utilisons d’autres outils d’analyse, de communication et de gestion de projet pour accroître la capacité d’action de notre équipe. Le fait de pouvoir déléguer une bonne partie du processus à une équipe nombreuse me permet de me concentrer sur les aspects liés aux relations avec les clients, à la gestion de portefeuille, et à la planification financière. »
Après 17 ans dans l’industrie, où il est entré peu de temps après l’éclatement de la bulle technologique, la passion de Nader demeure intacte. À l’époque, il trouvait qu’on accordait trop d’importance à la sélection des titres et qu’on ne consacrait pas assez de temps à aider les gens à atteindre leurs objectifs bien particuliers. Il a donc pris un peu de recul et adopté une approche plus holistique.
« Depuis toujours, je suis fasciné par le marché, mais aussi par le comportement humain, par les moyens de rendre les choses plus efficaces et d’amener les gens à atteindre leurs objectifs », dit-il. »
« Une des principales raisons de notre réussite est que nous aidons nos clients à atteindre leurs objectifs en toute quiétude, mais nous les accompagnons aussi dans les périodes de transition et les périodes difficiles ».
Il poursuit en ajoutant que « l’une des raisons pour lesquelles je me suis lancé dans ce domaine est que c’est une alliance parfaite entre les finances et l’analyse, mais aussi entre l’aspect humain et les relations ».
Une des devises de l’équipe est « Santé, richesse et bonheur », la richesse étant au cœur des préoccupations. Nader veut que les clients aient non seulement l’argent pour prendre leur retraite, mais aussi les connaissances nécessaires pour prendre les bonnes décisions en toute confiance.
Pour cela, il est nécessaire d’éduquer par le biais de séminaires, de bulletins d’information et de blogues. Il faut aussi que Nader puisse compter sur l’exceptionnelle équipe du Groupe de gestion financière globale et il estime que c’est l’une des principales raisons du succès de l’entreprise.
« Chacun utilise ses compétences particulières pour maximiser son potentiel et offrir un excellent service », déclare-t-il. « J’ai un formidable partenariat avec les gestionnaires de portefeuilles Jean Hénault, qui a été mon mentor, et Pascal Ricard, qui est un associé. »
Les trois sont de fervents adeptes des principes de Ray Dalio, qui les aident à réfléchir ensemble et à générer de nouvelles idées pour améliorer le service à la clientèle. Nader a également fait l’éloge de Vanita Batra, directrice des services administratifs et pilier de l’ensemble des activités, de Lily Yan et de Tessa Wong pour leurs connaissances administratives, et de Chelsea Parasuco et Olivier Jean, qui qui se consacrent tous deux à différents aspects de la recherche et de l’analyse.
Il dit « l’équipe me permet vraiment de me concentrer sur mes passions et mes forces, c’est-à-dire la gestion de portefeuille, la planification financière et les relations avec les clients. Être bien entouré de mon équipe et des professionnels spécialisés dans d’autres domaines est une des raisons qui explique notre réussite. »
C’est une façon de travailler qui aide Nader à atteindre l’un de ses principaux objectifs pour les clients : simplifier la gestion de patrimoine, laisser les experts s’occuper des détails et des aspects plus complexes, et les libérer de ces contraintes.
Pour parvenir à réaliser ces objectifs financiers pour ses clients et diversifier un portefeuille, Nader utilise une approche d’investissement qui s’apparente à celle des fonds de pension en se prévalant d’un accès discrétionnaire à des capitaux privés, des produits personnalisés, des emprunts privés et à l’immobilier.
Il ajoute : « Nous pensons qu’il est important de diversifier en nous éloignant des fonds équilibrés traditionnels. Dans le contexte actuel des taux d’intérêt, il est beaucoup plus difficile d’obtenir et de générer des rendements qu’il y a 20 ans.
« Nous approchons de la fin du cycle économique, il est donc extrêmement important de sortir des sentiers battus, de gérer l’argent des particuliers de la même façon que les institutions et les caisses de retraite le font, avec une vision à long terme, et de diversifier dans ces catégories d’actifs. »
*Reproduit avec la permission de James Burton, james.burton@keymedia.com, journaliste et rédacteur en chef du magazine Wealth Professional Canada.
« Ceci est une traduction de l’article original publié en anglais. »